Faire en sorte que la tempête se transforme en tourmente artistique. Que ces arbres à terre s’élèvent à nouveau vers la lumière, en se servant des matières inertes, troncs, branches, racines, écorces, en jouant sur la diversité, l’espace, la force, la fragilité et constituer un bois, un lieu d’identité, de mémoire.
Les bois sont vissés, percés, enfoncés, chevillés. Des filins bien visibles pour accentuer le déséquilibre de ces petits arrangements et donner la sensation de force par la structure et d’instabilité par l’assemblage.
…. La forêt reste fragile.